Dirty Fonzy - Underground city - Dirty Witch - Chronique du 27.01.2011

Deux albums énervés, une relecture acoustique et un split ont suffit pour établir le groupe albigeois au sommet du punk-rock français. Et non content de confirmer cette domination, ce troisième opus parvient à l'étendre un peu plus. En élargissant leurs influences autour d'un rock syncopé et mélodique, rappelant le meilleur de Rancid, Dirty Fonzy délivre de la sorte un disque ultra accrocheur et fort en hits.

Nouvelle signature de Counter, division rock de Ninja Tune, The Spokes présente un Everyone I ever met entêtant. Le mariage entre pop, rock, psyché ou encore folk colore richement un album où il est impossible de s'ennuyer.

Ultra positif, Chezideck propose sa version du reggae sur Judgement time (JahSolidRock), à savoir une musique claire, ouverte et gorgée de mélodies immédiates et faciles à retenir, l'ensemble sonnant vraiment comme une évidence.